mercredi 3 septembre 2008

Mon Prince

Bon.
Les moments de félicité tombent du ciel comme les feuilles d'automne ces temps-ci.
Je me lève avec "Pussy control" de Prince.
Je sais pas pourquoi mais cette chanson éveille en moi...
Une autre sorte de cow-girl.
L'envie d'une douche froide me pousse en bas du lit.
Ouch calisse.
Envie. D'une douche. Froide. Maintenant.

"No prostitute she, but the mayor of your brain. OH! Pussy control!"

Prince est mon cow-boy. Quand il chante, son micro sent le sexe. Quand il est dans mon stéréo, mon itunes est diffuseur de phéromones. Chevauchant toutes mes envies, je regarde le téléphone mais je ne fais rien. Je ne téléphonerai pas à mon cow-boy sexuel. Que non.
Je dois aller loin de chez moi, c'est infesté de Prince. Pire que des coquerelles, je vous dit. Ses intonations résonnent sur mes murs, ses riffs s'incrustent dans mes armoires. J'ai ouvert mon garde manger et j'y ai halluciné sa guitare. Ça se mange mal au déjeuner, une Fender. Alors je me suis contentée de fond de pot de beurre de pean' et de sa musique.

Mes bottes réclamaient une promenade, requête à laquelle j'ai cédée. J'avais simplement ce besoin de m'extirper de l'univers sexuel de mon cow-boy. J'ai marché sur le désir en sortant. Il a miaulé.

Fuck.
Dehors, j'étais à Erotic city.

1 commentaire:

√їÐΘĈ a dit…

sexualllllllllll healing baby!